Présentation des candidats à la présidentielle du 24 février 2019 :
Madické Niang ,
dissident du pds, a occupé les ministères de l’habitat, des affaires
étrangères, de la justice, de l’énergie, de l’industrie et des mines.
L’avocat autoproclamé, candidat aux scrutins présidentiels de 2019, ex
président du Groupe parlementaire du PDS, l’homme de confiance de
Abdoulaye Wade, sera-t-il donc le prochain président de la république
sénégalaise, ou au contraire, en cas de défaite électorale, paiera-t-il
les dégâts de sa sortie de la maison natale ?
Issa Sall, informaticien
de formation, imbu de la moule religieuse et de confession Tidjaniya, a
été choisi par Serigne Moustapha Sy, guide spirituel de Tivaouane,
l’une des plus prestigieuses confréries musulmanes, ayant pignon sur
rue au Sénégal.
Macky Sall : Macky Sall Et la Sale Fédération Internationale des Autocrates Africains, Terroristes aux Ordres [SFIAO].
Qui est donc cet homme atypique dans
le paysage politique sénégalais ? Il est le pion des intérêts
américano- français. Candidat corrompu et corrupteur, est dans
l’appendice des lobbies Franc-maçonniques, de l’esbroufe, le béni
oui-oui à sa propre succession, un produit manufacturé du pds, Chantre
de l’émergence familiale, coloniale, du népotisme, de la transhumance
d’archaïsme, le symbole du cannibalisme politique, d’anarchie et
d’achat des consciences abîmées
Et par dessus tout, il reste le label
professionnel menteur, de la Com“des violences organisées, de la
désinformation, la manipulation, et qui nous gouverne d’une main de
fer par sa crei interposée- devient de facto son arme de guerre, s’est
transmuée en instrument politique, est présumée la cour de
répression de l’enrichissement illicite-a été unilatéralement réactivée
par décret présidentiel, comme tout le reste d’ailleurs.
Une cour martiale unique au monde,
digne de la Stasi/conflit d’intérêt, est totalement illégale
juridiquement, moralement, cliniquement et politiquement : une arme
politique de guerre confiscatoire à la démocratie et aux libertés
fondamentales de conscience
Idrissa Seck, premier ministre, dit « Ndamal Cadior », patron de Rewmi, est lui aussi sorti de l’école du wadisme..
Ousmane Sonko, major de sa promotion, et auteur du brulot” Pétrole et gaz au Sénégal” : Chronique d’une spoliation “,
leader charismatique de Pastef, le résistant, patriote digne,
distingué, très apprécié, malgré les lourdes menaces, dont il est
l’objet, tient bon, galvanise les masses populaires, renforce son aura
de plus en plus, suscite l’engouement et les adhésions, dérange-t-il
par son verbatim percutant ?
Il est donc désormais l’étoile
montante de la nouvelle génération des dirigeants courageux. Ancien
inspecteur des impôts, demeure plus que jamais le plus crédible de la
course présidentielle, et l’un des rares hommes politiques à parler
ouvertement de l’ingérence monétaire, le FCFA, promet, à coup sûr, de
le faire sortir, toutefois qu’il sera élu président de la république.
Quelle que soit l’issue des scrutins, il pèsera dans l’échiquier
politique sénégalais.
Ce qui est sûr et certain, est que si le suppôt en place gagne, c’est parce qu’il aura volé.
Les supputations, les commentaires et
pronostics factuel vont bon train dans un rythme effréné, mais Force est
de reconnaître que jusqu’ici, à moins qu’un miracle se produise, le
braqueur électoral gagne toujours, ne compte pas bouger de son marqueur
qui lui colle à la peau, malgré les charivaris torrentiels de toute
la littérature des incantations des uns et des autres.
Cette fois, son choix est-il le
bon ? il apparaît nettement dans le bon chemin, si potentiellement
l’ouragan se confirme, tourne-t-il en faveur de l’ancien candidat
malheureux de la dernière élection présidentielle de 2012, en
l’occurrence, l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, menace le maître,
autocrate du palais alpulaar, n’a pas sa langue dans sa poche,
excelle dans l’art de la rhétorique abrasive par ses joutes
épistolaires, occupe le poste président du conseil départemental de
Thiès (ouest), candidat à la présidentielle de février 2019. En 2012,
dans l’une de mes chroniques, j’écrivais que l’homme renvoyé à ses
chères études, rebondira, et renaîtra de ses cendres. « Le Dieu de la
Capitale du Rail, dit « Ndamal Cadior » « brûlera-t-il la Case de
Birama» – « ndax kuko diam ndax ndaga naanani» ? Y aurait-il un duel à
mort entre qui et qui ? Qui vivra, verra !
Comme d’habitude, chez nous, celui qui
pose le vrai débat, diagnostique le mal endémique, veut le solutionner,
mal est perçu, compris, apparaît comme étant le diviseur, est le
coupable, l’homme à abattre à tout prix ; tandis que certains
politicards par leur cécité, esquivent et fuient la question,
détournent le débat essentiel de sa substance, induisent sciemment en
erreur les citoyens par presse interposée, corrompue, engraissée dans
les deniers de l’état, a déjà choisi son camp comme si le casseur du
siècle au Sénégal, est le moindre mal, passe au second plan.
La rhétorique de caniveau incarnée par
Aminata Touré, la mascotte du ciel ouvert des Ratatati-, Tangalñu- qui
est dénommée l’envoyée spéciale, auprès du référent de la
Françafrique, fidèle à elle –même, joue les troubles fêtes, défend son
bifteck, en mouillant le maillot, après ses invectives contre Ndamal
cadior, s’adresse à Abdoulaye Wade , et sème une fois de plus la
tempête : « “le Temps De L’insurrection Est Dépassé”.
les L’insurrection
commence par l’instrumentalisation de la justice politique, aux ordres,
l’achat des consciences, le code des communications liberticides, les
restrictions drastiques du premier droit de tout peuple, sont
confiscatoires et à auxquelles s’y ajoutent les réformettes du code
électoral et les commandes du matériel de répression en cascades et en
continu, dont le bas peuple, racketté, qui trinque, très trépasse,
paye la lourde note , est criblé d’impôts et de taxes toutes sortes.
En politique, à un moment ou à un
autre, l’erreur fatale, se paye cash, change le rapport de force peut
changer de camp. Est-ce donc la goutte d’eau qui a fait déborder le
vase ? La crei et le conseil anticonstitutionnel, les bras armés de
l’arroseur arrosé, ont manifestement commis une faute politique
juridique d’invalider les candidatures présidentielles du fils de son
père, Karim et Khalifa, ancien maire de Dakar.
Le consensus des ralliements et les
transvasements quotidiens autour du patron de rewmi lui ouvriront-ils
les portes du palais, comme étant le 5ème Président de la république.
« Ndamal Cadior » est-elle la bonne
pièce de rechange ? En tout cas, tout le laisse croire jusqu’à preuve
du contraire, et pour l’instant et pour cause. Entre idrissa Seck,
Ousmane Sonko, Issa Sall, Madické Niang, qui sauverait, et pour
venger et « l’ex calife de la Capitale Sénégalaise », et le fils du
Pape du Sopi, déporté au Qatar, et laver leur honneur ; toutefois que
la présidentielle se déroulera normalement dans les conditions
démocratiques, optimales, transparentes et apaisées ?
Faut-il que l’Autre « Mbs » en
Miniature, candidat à propre succession, qui est plus que jamais dans
les valises des Bailleurs Coloniaux, verse de l’eau dans son Bissap, et
revenir à de meilleurs sentiments ? Rien n’est moins sûr et pour
cause ?
Les plans diaboliques du programmateur
en chair et en os écrit d’avance et à maintes reprises le scénario,
quoique néfastes passent avant tout, deviennent un rituel permanent.
Et pour ce faire, pour arriver à ses
fins de basse besogne, le caniche de l’occident, manipulateur-
machiavel, fait fi de l’ancien code électoral, qui lui a permis d’être
le président de la république. Une fois élu, il le torpille à des fins
obscures, et ce, par la mécanique de sa sarabande de dépités bridés,
à dessein d’étouffer toute émergence peu ou prou de ses concurrents
immédiats. « ludéfu waxu lu ay di diambat ».
À contrario, bizarrement, à chaque
fois, la sortie du pape du Sopi crée automatiquement un cataclysme
catalyseur survoltant, et, par-delà, un effet boomerang, polarise
promptement une certaine classe politique, et leur meute de chiens
de Garde convertie en gadgets farandoles plumitifs, se confinent
dans son rôle dévolu, s’y accrochent, teilles des teignes, et y
trouvent un boulevard, pour l’écrabouiller, et au bénéfice du pouvoir
familial.
Quoique l’on puisse dire, si nous
serons pas vigilants, la plausible victoire préfabriquée du
voleur en place , est à mes yeux l’ennemi public à abattre, au lieu de
perdre notre temps à pinailler sur le tempo de l’ancien président de
la république sénégalaise.
Cela devient un réflexe partagé dans la
conscience de la majorité des sénégalais embobinés tombent plus que
jamais dans le panier de crabes. Quand l’hypocrisie généralisée,
abyssale devient un consensus, le Sénégal tombera plus bas que
jamais.
Au lieu d’analyser factuellement la
réalité, le contenu de sa pensée et les effets induits et les tenants
et les aboutissants, les rabatteurs satellites, cagoulés, en jointure
avec les médias relais embarqués par le pouvoir tortionnaire, se font
une obsession mortifère sur l’ancien super ministre d’état du Ciel et
de la Terre, pour lequel son père travaille, nous dit-on.
Qu’en est-il du pire chantre du
népotisme et de la démocratie familiale, a nommé plus qu’un village
entier, portant les mêmes patronymes, bien sonnants, occupent tous
postes clés de haut niveau dans toutes les structures au cœur de
l’état sénégalais, vassalisé jusqu’à la lie ?
Les alliances sidérantes contre
nature, que sont la LD, l’AFP, le PIT, Moustapha Cissé Lô, MbayeNdiaye
etc., se sont transformés en transhumants éternels, pour avoir mangé,
brouté dans tous les râteliers, avaient soutenu mordicus celui qui fut
l’ennemi juré de Senghor et de Abdou Diouf, se transvasent, se
travestissent en abrutis dévergondés sans vergogne dans la Nouvelle
Prairie verte, mettent au pinacle l’époux de Viviane wade. Balay ñuy
teutc Gui miñu Sameu dañio wara set limuy waliss.
Deñy koy Sangue Soutourou– Sac ci cat bumak bii, représenté en la personne du nègre de service.
Les mêmes mercenaires par leur lâcheté,
qui sont très loquaces, lesquels en quête pitance, de notoriété et
de prestige, mal placés, et qui furent très bavards en 2012,
s’agenouillent honteusement et vulgairement, changent de tonalité,
appuient sur la pédale douce, abdiquent sur toute la ligne, laissent le
champ libre à l’autocrate en place, qui imprime sa marque digitale,
interdit tout, continue de faire régner ses piètres lois coercitives,
par des réformes régressives et répressives tous genres.
Je veux parler du félon, qui est juge
et partie, a disqualifié à son gré et Karim Wade et Khalifa Sall, par
la fatwa simultanée de la Crei et des décrets présidentiels baroques
en amplitude.
Quand l’hypothèse est anormale du début
à la fin, tout s’écroule en lambeau et en toute logique, n’est-ce
pas ? Le brouhaha profite à l’unique organisateur des crimes
électoraux permanents, qu’il vante, ou qu’il pleuve, tient à se
tailler par devers son score fantasmagorique, préfabriqué de toute
pièce. Nous devons faire corps et cause commune contre un tel affront,
et lui briser les ailes.
À chaque situation exceptionnelles, des
solutions exceptionnelles, inédites, face à la gravité et au degré
d’impunité, qui n’ont que trop duré.
Ce qui nous divise est supérieur à ce
qui nous unit, il va sans dire qu’il en soit toujours ainsi. Seytané
waxut wayé deye fen rek.Mais faut-il que nous sachions ce que nous
voulons ?
En toute logique, Wade qui est contre
le parrainage, ne peut pas à la fois se dédire et soutenir
publiquement Idrissa Seck, Madické Naing, Issa sall, ou Ousmane
Sonko, au point de se contredire, même s’il pense les soutenir tout
bas dans son for intérieur les préfère, face à la place du Berger
colonial.
Quoiqu’il en soit, les affidés des deux
recalés, se tiendront main dans la main, se joindront, joueront
nécessairement les arbitres, pour barrer la route, et se venger
contre le tyran, ne passera pas, à moins qu’il fasse de nouveau un
adukalpé pour la énième fois, et ce, à ses risques et périls. Comme
le dit un adage de chez nous, « Galuk dof du ter »
Et dans l’hypothèse où il passera sous
les mailles du filet, au deuxième tour, par miracle, il sera
lamentablement battu par KO et par l’esclandre massif des urnes
écrasantes malgré ses ratonnades et ses éternels reniements, dont il
détient l’unique secret devant l’histoire. Il n’y a pas l’ombre d’un
doute possible.
Les contradictions et les incohérences du chantre changeant irrécupérable et ses lois hypocrites.
Malgré l’interdiction de la CEDEAO, à
l’instar de ses compères monarques africains, et à quelques
encablures de la date échue de la présidentielle, le voyou-il faut bien
le dire- tripote illégalement et contre vents et marée, la nouvelle
loi scélérate du code électoral, via l’assemblée nationale godillot,
impose aux candidats à l’élection présidentielle un parrainage de 0,8 % du corps électoral, dont l’objectif ne vise en réalité qu’à éliminer des adversaires gênants à la course présidentielle.
NB : pour rappel, à quelques mois du
fameux référendum-Deum-de 2016, Macky Sall, le changeant, mal
intentionné, qui nous a habitués aux fonds bonds, annonça la couleur,
en la cryptant, déclara que ce n’est pas lui qui fait la loi, avant
d’y ajouter une couche supplémentaires : « Personne ne peut me tordre
les bras ».
Cerise sur le gâteau, avant d’aller à
paris, où il a élu domicile, c’est lui qui a bien orchestré la
réforme du fameux électoral et les parrainages, via ses dépités de
services et des sinécures, dont Moustapha Niasse , est le lèche-botte du
despote ethnocentrique ” Nédoko bandoum ” .
C’est donc lui qui fait ses propres
lois. Voilà un autre mensonge aussi grossier parmi tant d’autre, fait
froid au dos. Sur quelle planète vit étrangement l’homme dégingandé
par ses plaisanteries inflationnistes à répétitions ?
Pis, il décrète en même temps de façon
concomitante, le code des communications électroniques liberticides.
L’escroquerie, le brigandage d’état, la supercherie et les pratiques
tiennent lieu de contradictions, restent en vigueur d’une magistrature
de foutoir.
L’ignorant pirate de naissance,
égoïste, qui s’en fout d’un état régalien, satellise à la loge
impérialiste internationale, s’accommode indignement par sa bassesse
contre le Talon d’Achille à la démocratie.
Lu dieweu diéxut diogufeu–
puisque le despote ne compte jamais dévier d’un iota de sa
trajectoire totalitaire- car les déplacements des sénégalais en dehors
de leurs lieux d’habitation, seront davantage accentués qu’ils ne
l’étaient lors du référendum -Deum et des législatives cataclysmiques du 30 juillet 2017, sont passés comme une lettre à la poste, comme si rien n’était.
Le déclic à sens unique contre le chef
du pds est de mise que l’on insulte en permanence, en a nécessairement
pour son grade. Est-ce à dire que l’homme à abattre est un démocrate ?
Tous Ceux qui s’élèvent, dénoncent, s’indignent, font du bruit contre
Abdoulaye wade, qui s’oppose à la présidentielle 2019, sont
eux-mêmes des désertiques, des acrobates hypocrites, se plient à la
règle édictée du césarisme fatigant.
Mais bizarrement, lorsqu’il s’agit de
la profession de foi du menteur impénitent, la tonalité tombe d’un
degré, est mesurée, pour éviter à tout prix toute épée de Damoclès qui
pèse sur leurs tètes. La furie démentielle des stériles de la puanteur
témoignent absolument de leur manque de courage face à ce nullard qui
nous enquiquine depuis 7 ans. Le pape du sopi, qui parle, n’est plus
sur les manettes, mais le falsificateur met en exécution sa ligne
totalitaire, qu’il s’est fixée lui-même par son nombrilisme démesuré.
Décidément, dans notre pays étrange et
à la renverse, les projecteurs se braquent et se focalisent
essentiellement sur la vidéo du jour, défraie sans répit la
chronique constitue la pomme de discorde, pendant ce temps, les morts
voteront plus que les vivants en vue d’un hold-up électoral encore plus
massif que les dernières comédies cataclysmiques ridicules.
Cependant, aussi extraordinaire que cela
puisse paraître, toutes les mesures dictatoriales, dilatoires,
confiscatoires à la démocratie, en pis, empilées les unes après les
autres, passent avant tout, semblent être un consensus partagé à
l’échelle nationale sénégalais.
La sortie supposée décriée
disproportionnellement crée une hystérie et une levée de bouclier
contre l’ancien président du Sénégal, apparaît ne pas produire l’effet
escompté dans le substrat des sénégalais. Or, personne ne s’est
offusqué de façon audible à la place publique sur les décrets va-t-en
guerre et les dérives exponentielles de l’autocrate en place, grisé par
l’euphorie du pouvoir, empêtré dans ses contradictions les plus
criardes et haut de son ignorance sur un état civilisé, bafoue
systématiquement les règles d’un état de droit.
En 2012, l’aventureux menaçait de créer
un gouvernement parallèle en cas de victoire de Wade le discours de
wade courageux laisse apparaître l’hypocrisie criarde de la bande des
ignares- pantouflards, couards, très bas des guignols tarés n’ont que
la langue bien pendue, ne cherchent qu’à manger, occupent tous les
médias de la sarabande, alimentaire, restent sous la coupole du
pouvoir tortionnaire, usurier, ethnique.
Que nenni, tout discours de Gorgui
peu ou prou, crée ipso facto une levée de bouclier, alors que
l’irresponsabilité notoire du pantin, qui sème la pagaille et la
terreur et trouble l’ordre public par ses lois indignes, constitue que
jamais la clé de voûte de tous nos ennuis, vont en pis.
Propos recueillis par Vincent Hugeux Le
26/01/2016, Macky Sall, dans une interview au journal français ?
L’EXPRESS “Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un
attentat”
Vincent Hugeux : Vous
avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont
celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole?
« Absolument. Il y aura bien en 2016 un
référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les
prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017 ».
Le référendum deum qui a eu lieu, ne
concernait pas son mandat présidentiel qu’il avait pourtant promis de
réduire de 7 à 5 ans.
25 févr. 2012 – Macky sall déclarait «
Le gouvernement veut faire du hold-up. Et pour cela, il y a quelques
jours, des «Taser» et d’autres types d’armes ont été démarqués au port
de Dakar».
Macky Sall, candidat de la Coalition «
Macky 2012 » tenait son meeting de clôture au stade Alassane Djiggo de
Pikine. Il a, à cette occasion, mis en garde le gouvernement, qui selon
lui est prêt à tout pour faire du « fokhati (hold-up)».
L’histoire a donc tranché, puisque les prédictions du menteur n’ont jamais eu lieu. Un gros mensonge qui n’en est pas un.
À quelques jours de la présidentielle de
février 2019, Abdoulaye Wade déclare que Macky Sall s’est déjà
proclamé vainqueur, a déjà son pourcentage 55 % ou 65 %.
Abdoulaye Wade annonça donc des résultats préfabriqués à la présidentielle de 2019.
Nous avons affaire à faussaire, qui ne
respecte le schéma régalien, croit que l’état et le poste de président
de la république font qu’un. Jusqu’à preuve du contraire
personnellement, je lui [Abdoulaye Wade] donne du crédit
Je ne le souhaite pas, si par
extraordinaire les prédictions inquiétantes « du Sorcier « Wade se
réaliseraient [victoire préfabriquée du planificateur], que se
passerait-il alors, demain ?
Le monarque prétend s’appuyer sur les
parrainages illégaux, cousus de fil blanc, ne sont point ni un
baromètre, pour mesurer la température ambiante, ou des intentions de
vote, mais pour le faussaire, ses méthodes décriées lui serviront
d’apparat et d’échappatoire et crier victoire, demain, si on n’y prend
pas garde. Ce n’est pas anodin qu’il en fait ainsi son fonds de
commerce de piètre qualité.
Où étaient ces gens-là, si volubiles
aujourd’hui, lorsque le tyran, réfractaire, menteur, donne des ordres à
son assemblage de caisse de résonance et d’enregistrement, a dicté sa
loi sur le code électoral, que sais-je encore ?
Où existaient-ils quand L’autocrate,
déclaré, décrète vertement à la place publique une kyrielle de lois
liberticides, à savoir l’étrange code liberticide des communications
électroniques, notamment le manque de clarté sur le fichier électoral
ombrageux ?
Les mêmes qui se déchaînent, telles
des brutes, étaient abonnés absents, quand Ali Ngouille Ndiaye, le
ministron de la Pagaille déclarait indignement travailler pour que
Macky sall gagne au premier tour.
Voilà une raison additionnelle qui
devrait créer les conditions d’un déclic généralisé pour que cessent
les incartades et les intrusions inacceptables d’un énergumène qui a eu
du culot de nous déclarer la guerre.
De toute façon, compte tenu du fichier
électoral très opaque, et le laisser, tel qu’il est, c’est aller en
guerre et la perdre, qu’on le veuille ou non. Le caractère nébuleux
blasphématoire dudit fichier et ses zones d’ombre, constitue le socle
d’un véritable Casus belli.
Le fichier électoral en Double: Gorgui
lâche ses bombes à fragmentations, mais bénéficie automatiquement
d’un lynchage médiatico-politique, diligenté conjointement par le
pouvoir apocalyptique et par son moutonnier bien tenu en laisse.
C’est la réponse du berger à la bergère. Belle pagaille à couper le souffle !
Après le référendum – Deum en mars 2016, la bête immonde, affolée, traquée de toutes parts, tout
azimut, quoique atteinte dans sa chair, atteinte, reprend du poil-
rebelote, en moins de deux semaines et à date échue, Macky Sall
confisque, conserve par devers 1,5 millions de cartes d’électeurs de jeunes sénégalais, qui ne lui sont pas favorables, ne pourraient pas rempli leur devoir civique, à l’instar des dernières législatives catastrophiques.
Comme à l’accoutumance, toute inadvertance, fera le lit des morts, qui voteront massivement plus que les vivants, pour le déshonneur d’un accident de l’histoire, affabulateur,béni oui-oui, s’encarte mordicus à la Sale Fédération Internationale des Autocrates Africains, Terroristes aux Ordres [SFIAO].
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